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Quelques lunes enlacées...
Quelques lunes enlacées
Autour du temps qui passe
Et le souffle harassé
De risées qui s'espacent.
L'océan se bouscule
Aux portes de mes rêves,
Seuls, mes mots funambules,
Sur leurs lignes s'élèvent.
Froid hiver que l'ultime
Qui semble deviner
Qu'aux froufrous de l'intime,
Tout espoir est damné.
Telles vieilles pleureuses,
S'ébranlent mes douleurs
Et leurs trognes véreuses
Aux troublantes pâleurs.
L'illusion d'une voile
Brosse un faux horizon,
C'est un ciel sans étoiles
Qui drape ma prison...©
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Commentaires
bonjour philippe ,
tiens encore moi?? vas tu te !!je passe te lire et ressent tellement de tristesse dans tes mots , la lune pleure peut-être, mais nul astre même le soleil ne pourra ternir l'éclat de tes mots. avec toue mon amitié monette
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