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Groix... Lors les rives de l’île...
Un zéphyr doux et tendre
Caresse la bruyère
Et paraît s’y répandre
Sous de pâles lumières.
Une brise d’été
Que nous souffle la mer,
Sans cesse répétée
Mais pourtant éphémère.
Ce petit vent distrait
Un tantinet rieur
Par ses baisers discrets
Se fait ensorceleur.
Son haleine fleurée
De pétales en offrande,
Bien qu’à peine effleurée,
Vient enivrer la lande.
Lors, les rives de l’île,
Aux couleurs extatiques,
Prennent les tons subtils
D’un jardin exotique…
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