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Lors Groix ferme les yeux...
Quand la plage impavide
Laisse glisser sa robe
Dévoilant doucement
Des espaces interdits
Que la houle un peu folle
Efface des esquisses
Autant d’œuvres éphémères
Sous la toile du ciel
Que le vent indécis
Par moment se fait brosse
D’une écume volage
Tournoyant en silence
Lors Groix ferme les yeux
Sur de rares étreintes
Mais vous, entendrez-vous
Le doux chant des sirènes ?...
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Commentaires
Merci Pierre, écouter les sortilèges de leur chant est une chose mais, tu as raison, surtout ne pas les laisser nous emporter...
Bon dimanche
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Je me méfie du chant des sirènes, mais je me délecte de tes mots ordonnancés au rythme d'une houle délicate.....