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Groix... L'on pourrait bien penser...
L’on pourrait bien penser
Que le temps s’y ennuie
La brise est paresseuse
Et le soleil oisif
Là, quelques vieilles cimes
S’abreuvent à l’azur,
Un lagon bleu métal
Quelques soupçons de lait
Et puis, juste en dessous
La mer qui va et vient
Fait la cour aux rivages
Pour mieux jouer les farouches
Enfin là tout au bout
Ils s’unissent enfin
L’onde bleue et le ciel
Pour des noces radieuses
Sur la table dressée
Une nappe émeraude
Des oiseaux invités
Commensaux des Courreaux
Parfois, jusqu’à la plage
Tombe un tapis fleuri
Même le bel Orient
N’en a pas de semblables
À vrai dire moi je trouve
Que cette île qui flâne
A quelque chose à voir
Avec le paradis
Mais alors dites-moi
Quel bon dieu en goguette
Aurait pu déposer
Une île en cet endroit ?…
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Commentaires
Merci l'ami Pierre, je ne sais pas si tout est vrai mais c'est joliment bien dit...
Merci aussi Nina... Bisous
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Dieu a déposé cette île au paradis comme les muses t'ont abreuvé de jolis mots assemblés en arc-en-ciel.....