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Groix... Le sentier côtier...
La sente s'est perdue
Dans la lande odorante,
Pauvre course éperdue
Pour la belle ignorante.
Vers un vallon tranquille,Amourette éphémère,
Cette faveur de l'île
En a snobé la mer.
Ourlant la blonde dune
D'un gris galon fardé,
Le soleil et la lune
L'avait pourtant guidée.
Pour le rêve utopique
D’une pauvre petiote,
La roche tombe à pic
Délaissée par l'idiote.
À moins que ce ne soit
En cet étrange été,
L'océan en émoi
Qui nous l'ait emportée...©
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Commentaires
bonjour Philippe ,
c'est un mariage harmonieux entre la lande, la bruyère, l'air marin qui te caresse et te fouette le visage, ..ici, tu respire, l'air marin et le plaisir de la randonnée, oui on se ressource que l'on soit en bord de mer ou au cœur des forêts odorantes. ton île est un endroit accueillant, sans fioritures, un lieu où l'on se sent à l'aise ou l 'on entends le sifflement du vent dans les ajoncs, dans les genêts , ou la bruyère et la brume légère qui l'enveloppe comme pour la protéger..... altère à peine l'intensité de la symphonie merci Philippe pour ce doux moment avec toute mon amitié monette
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Mercredi 1er Mars 2017 à 17:37
Merci pour ta lecture et ton commentaire iodé...
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3AnneMercredi 1er Mars 2017 à 23:01images et mots à l'unisson, bravo l'artiste.
amitiés Anne
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Mercredi 1er Mars 2017 à 23:37
Sans prétention, merci...
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De bien jolis mots pour cette sente que j'aspire à fouler à nouveau pour admirer l'océan du haut des rochers
Belle journée Philippe
Amitié Poète
Merci, petite sente qui s'est perdue ou bien que l'océan a dévorée...