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Une impossible fable...
Montage avec crédit photo Martine le Pévédic
Au pays sans douleur,
Papillonnent distraites,
Ces candeurs improbablesPropres aux tourbillons
Des rêves oubliés.
Impossibles ambitions
Que celles barbouillées,
Par nos actes manqués,Ou nos pauvres remords
Ou nos regrets stériles.
Comment imaginer
Cet impossible Ailleurs
À l'aune de nos peurs ?
Ce ne sont là mon grand
Que contes pour enfants…
Te souviens-tu encore
De ma fable inventée
Et jamais achevée ?
Imprégnée ce soir-là
De fragrances marinesEt d’hauturiers pétales
De croisières heureuses
Et d'indicible amour.
Étiez toi et ta sœur,
Les soleils éclatés
D'une ombre solitaire,Trop pudique et trop gauche
Pour pouvoir allumer,
Entretenir surtout
Un bonheur authentique.
Quel est donc ce délire ?
Mon garçon je te parle
Mais tu ne peux m'entendre…
Ne suis plus désormais
Que l'infini chagrin
D'un vieil homme égaré…©Ph Dagorne
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Commentaires
Cette fable inventée même inachevée a bercé ton garçon
Cet amour indicible a nourrit tes enfants
Tu les as fait rêver
L'océan, le soin des autres rien n'est négatif
Je t'embrasse mon ami